C'est par ce livre que j'ai connu Denis Tillinac, écrivain et journaliste. J'avais beaucoup apprécié, quand il parut en 1984 chez Robert Laffont, l'humeur vagabonde et l'humour de l'auteur, ancien localier de la Dépêche du Midi. J'étais alors rédacteur-en-chef de Madame Figaro. Quand, devenu éditeur de La Table Ronde, il le réédita dans la Petite Vermillon, il utilisa ce dessin des ruines de Merle que j'avais fait, un jour que je lui rendais visite dans sa Corrèze natale.